ASSURANCES-HOSPITALISATON : HORS-LA-LOI !
Les assurances-hospitalisation sont des produits financiers privés dont le but final n'est pas votre santé, mais le bonheur de leurs actionnaires. Dans le cadre de leur mission, ces institutions exigent de plus en plus souvent, en échange de votre remboursement des informations médicales qui constituent une scandaleuse violation du secret professionnel.
Le but est non seulement de trouver dans les informations qu'ils glanent, un argument pour refuser de couvrir les garanties de votre contrat mais aussi de constituer des banques de données médicales optimisées qui pourraient être revendues et/ou utilisées par des organismes privés pour évaluer votre état de santé lors de vos futures demandes financières tels que l'obtention d'un prêt par exemple.
Les banques n'ayant aucun scrupule et aucune intention de vous rendre service, un prêt pourrait notamment vous être refusés, sur base de ces informations, sans que vous connaissiez la cause du refus.
A terme, vous subirez d'autant plus les inconvénients de ces indélicatesses que dans le cadre de votre contrat, vous vous êtes engagés à délier votre médecin de son obligation de discrétion, ce qui est rigoureusement contraire à l'art.64 du code de déontologie et illégal. Cependant le médecin est pris en otage par le fait que son refus de coopérer signifie pour les assurances le refus de vous rembourser.
La chose est d'autant plus grave que l'Ordre des Médecins Belge, contrairement à la position de l'Ordre Français, ne semble pas se préoccuper de cet inquiétant phénomène.
La DKV dont la réputation est d'être la Rolls Royce des Assurances est assurément aujourd'hui en Belgique la plus agressive sur le plan de la violation du secret professionnel. Cette compagnie d'assurance est tout simplement Hors-la-Loi. Les autres lui emboîtent évidemment le pas
J'ai donc décidé de ne plus travailler avec les assurances-hospitalisation, quelle qu'elles soient.
Pour vous, cela ne changera rien car je m'engage à renoncer aux suppléments d'honoraires auxquels votre assurance me donnait droit. Vous ne paierez aucun supplément. La justice est à ce prix et je suis prêt à le payer.
De la sorte, je ne serai pas pris en otage par votre remboursement et vos données médicales resteront privées et ne vous porteront pas préjudice à terme.
Je m'engage à ne transmettre AUCUNE information médicale vous concernant à l'hôpital où je vous traiterai car j'estime que ces informations ne concernent que vous et moi et que l'hôpital n'a pas à se mêler de cela.
Les administrations hospitalières sont aujourd'hui complices de la construction de bases de données médicales complètes qui ne seront pas mises au service de votre santé mais de l'intérêt de l'Etat et des grands groupes financiers ou pharmaceutiques.
Je m'engage donc à ne communiquer à l'hôpital AUCUNE INFORMATION MEDICALE vous concernant, malgré l'insistance du pouvoir directeur..
JE VOUS DEMANDE DONC DE RÉPONDRE PAR LA NÉGATIVE A TOUTES LES QUESTIONS QUI VOUS SERONT POSÉES A L’ARRIVÉE A L’HÔPITAL. NE DONNEZ AUCUNE INFORMATION MÉDICALE VOUS CONCERNANT.
CES RENSEIGNEMENTS SONT DESTINÉS A ETRE STOCKÉS DANS DES BASES DE DONNÉES NON MÉDICALES ET D’ACCÈS NON SÉCURISÉ.
DE PLUS, CES INFORMATIONS NE CONCERNENT QUE VOUS ET MOI ET NE REGARDENT EN AUCUN CAS L'ADMINISTRATION HOSPITALIÈRE.
CE QUE VOUS DIVULGUEREZ SERA ASSURÉMENT UN JOUR UTILISÉ CONTRE VOUS.
Je vous préviens donc qu'en aucun cas je ne dévoilerai le secret qui fonde le sens de la relation entre un médecin et son malade et que je vous invite donc à faire la demande d'une chambre à 2 lits et de ne pas faire intervenir votre assurance, car il me sera IMPOSSIBLE de répondre aux sollicitations de la gestapo qu'ils mettent en place... et qui n'hésite pas à violer l'Art.458 du code pénal et les articles 55 et 64 du code de déontologie.
PAR LA PRÉSENTE JE M'ENGAGE A NE VOUS DEMANDER AUCUN SUPPLÉMENT D'HONORAIRES ET VOUS PRIE DONC DE FAIRE LE CHOIX D'UNE CHAMBRE A DEUX LITS LORS DE VOTRE ADMISSION.
ANNEXES JURIDIQUES
CODE PENAL
Art.458
"Les médecins, chirurgiens, officiers de santé, pharmaciens, sages-femmes et toutes autres personnes dépositaires, par état ou par profession, des secrets qu'on leur confie, qui, hors le cas où ils sont appelés à rendre témoignage en justice ou devant une commission d'enquête parlementaire et celui où la loi les oblige à faire connaître ces secrets, les auront révélés, seront punis d'un emprisonnement de huit jours à six mois et d'une amende de cent euros à cinq cents euros"
CODE DE DEONTOLOGIE
Art.. 55
01/01/1975Le secret professionnel auquel le médecin est tenu est d'ordre public. Il s'impose dans quelque circonstance que ce soit aux praticiens consultés par un patient ou amenés à lui donner des soins ou des avis.
Art.. 64
01/01/1975La déclaration du malade relevant son médecin du secret professionnel ne suffit pas à libérer le médecin de son obligation.
Les assurances-hospitalisation sont des produits financiers privés dont le but final n'est pas votre santé, mais le bonheur de leurs actionnaires. Dans le cadre de leur mission, ces institutions exigent de plus en plus souvent, en échange de votre remboursement des informations médicales qui constituent une scandaleuse violation du secret professionnel.
Le but est non seulement de trouver dans les informations qu'ils glanent, un argument pour refuser de couvrir les garanties de votre contrat mais aussi de constituer des banques de données médicales optimisées qui pourraient être revendues et/ou utilisées par des organismes privés pour évaluer votre état de santé lors de vos futures demandes financières tels que l'obtention d'un prêt par exemple.
Les banques n'ayant aucun scrupule et aucune intention de vous rendre service, un prêt pourrait notamment vous être refusés, sur base de ces informations, sans que vous connaissiez la cause du refus.
A terme, vous subirez d'autant plus les inconvénients de ces indélicatesses que dans le cadre de votre contrat, vous vous êtes engagés à délier votre médecin de son obligation de discrétion, ce qui est rigoureusement contraire à l'art.64 du code de déontologie et illégal. Cependant le médecin est pris en otage par le fait que son refus de coopérer signifie pour les assurances le refus de vous rembourser.
La chose est d'autant plus grave que l'Ordre des Médecins Belge, contrairement à la position de l'Ordre Français, ne semble pas se préoccuper de cet inquiétant phénomène.
La DKV dont la réputation est d'être la Rolls Royce des Assurances est assurément aujourd'hui en Belgique la plus agressive sur le plan de la violation du secret professionnel. Cette compagnie d'assurance est tout simplement Hors-la-Loi. Les autres lui emboîtent évidemment le pas
J'ai donc décidé de ne plus travailler avec les assurances-hospitalisation, quelle qu'elles soient.
Pour vous, cela ne changera rien car je m'engage à renoncer aux suppléments d'honoraires auxquels votre assurance me donnait droit. Vous ne paierez aucun supplément. La justice est à ce prix et je suis prêt à le payer.
De la sorte, je ne serai pas pris en otage par votre remboursement et vos données médicales resteront privées et ne vous porteront pas préjudice à terme.
Je m'engage à ne transmettre AUCUNE information médicale vous concernant à l'hôpital où je vous traiterai car j'estime que ces informations ne concernent que vous et moi et que l'hôpital n'a pas à se mêler de cela.
Les administrations hospitalières sont aujourd'hui complices de la construction de bases de données médicales complètes qui ne seront pas mises au service de votre santé mais de l'intérêt de l'Etat et des grands groupes financiers ou pharmaceutiques.
Je m'engage donc à ne communiquer à l'hôpital AUCUNE INFORMATION MEDICALE vous concernant, malgré l'insistance du pouvoir directeur..
JE VOUS DEMANDE DONC DE RÉPONDRE PAR LA NÉGATIVE A TOUTES LES QUESTIONS QUI VOUS SERONT POSÉES A L’ARRIVÉE A L’HÔPITAL. NE DONNEZ AUCUNE INFORMATION MÉDICALE VOUS CONCERNANT.
CES RENSEIGNEMENTS SONT DESTINÉS A ETRE STOCKÉS DANS DES BASES DE DONNÉES NON MÉDICALES ET D’ACCÈS NON SÉCURISÉ.
DE PLUS, CES INFORMATIONS NE CONCERNENT QUE VOUS ET MOI ET NE REGARDENT EN AUCUN CAS L'ADMINISTRATION HOSPITALIÈRE.
CE QUE VOUS DIVULGUEREZ SERA ASSURÉMENT UN JOUR UTILISÉ CONTRE VOUS.
Je vous préviens donc qu'en aucun cas je ne dévoilerai le secret qui fonde le sens de la relation entre un médecin et son malade et que je vous invite donc à faire la demande d'une chambre à 2 lits et de ne pas faire intervenir votre assurance, car il me sera IMPOSSIBLE de répondre aux sollicitations de la gestapo qu'ils mettent en place... et qui n'hésite pas à violer l'Art.458 du code pénal et les articles 55 et 64 du code de déontologie.
PAR LA PRÉSENTE JE M'ENGAGE A NE VOUS DEMANDER AUCUN SUPPLÉMENT D'HONORAIRES ET VOUS PRIE DONC DE FAIRE LE CHOIX D'UNE CHAMBRE A DEUX LITS LORS DE VOTRE ADMISSION.
ANNEXES JURIDIQUES
CODE PENAL
Art.458
"Les médecins, chirurgiens, officiers de santé, pharmaciens, sages-femmes et toutes autres personnes dépositaires, par état ou par profession, des secrets qu'on leur confie, qui, hors le cas où ils sont appelés à rendre témoignage en justice ou devant une commission d'enquête parlementaire et celui où la loi les oblige à faire connaître ces secrets, les auront révélés, seront punis d'un emprisonnement de huit jours à six mois et d'une amende de cent euros à cinq cents euros"
CODE DE DEONTOLOGIE
Art.. 55
01/01/1975Le secret professionnel auquel le médecin est tenu est d'ordre public. Il s'impose dans quelque circonstance que ce soit aux praticiens consultés par un patient ou amenés à lui donner des soins ou des avis.
Art.. 64
01/01/1975La déclaration du malade relevant son médecin du secret professionnel ne suffit pas à libérer le médecin de son obligation.