NOUS SOMMES AU REGRET DE NE PLUS PRENDRE EN CHARGE LES PATIENTS DES COMMUNAUTES EUROPEENNES.
En effet, la couverture médicale de ces patients est subordonnée à l'obtention d'autorisations préalables qui impliquent une violation inacceptable du secret professionnel.
Le service de contrôle médical des communautés s'arroge des privilèges dont ne disposent nullement les médecins conseils de nos mutuelles nationales. Ceux-ci ne sont pas autorisés (sauf cas spécifiques) à exiger une information préalable à un traitement médical ou chirurgical et doivent limiter leurs demandes de renseignements au cadre strict de leur mission.
Le service médical des communautés exige des informations sur votre santé qui dépassent largement le cadre d'une mission de contrôle raisonnable.
Même si l'Ordre des Médecins m'a implicitement autorisé a lever le secret dans des cas de ce genre, ma conscience m'interdit de suivre ce conseil doctrinal, pour le moins surprenant et qui témoigne d'une complaisance incompréhensible, volontaire ou non, à l'égard de démarches actuarielles mises au service des grands financiers.
Je suis désolé que notre Ordre n'ait pas pris les dispositions nécessaire pour s'opposer à ce genre de pratiques philosophiquement indéfendables.
LE SECRET PROFESSIONNEL RESTE A MES YEUX UNE CONDITION SINE QUA NON DANS UN ETAT DE DROIT.
En effet, la couverture médicale de ces patients est subordonnée à l'obtention d'autorisations préalables qui impliquent une violation inacceptable du secret professionnel.
Le service de contrôle médical des communautés s'arroge des privilèges dont ne disposent nullement les médecins conseils de nos mutuelles nationales. Ceux-ci ne sont pas autorisés (sauf cas spécifiques) à exiger une information préalable à un traitement médical ou chirurgical et doivent limiter leurs demandes de renseignements au cadre strict de leur mission.
Le service médical des communautés exige des informations sur votre santé qui dépassent largement le cadre d'une mission de contrôle raisonnable.
Même si l'Ordre des Médecins m'a implicitement autorisé a lever le secret dans des cas de ce genre, ma conscience m'interdit de suivre ce conseil doctrinal, pour le moins surprenant et qui témoigne d'une complaisance incompréhensible, volontaire ou non, à l'égard de démarches actuarielles mises au service des grands financiers.
Je suis désolé que notre Ordre n'ait pas pris les dispositions nécessaire pour s'opposer à ce genre de pratiques philosophiquement indéfendables.
LE SECRET PROFESSIONNEL RESTE A MES YEUX UNE CONDITION SINE QUA NON DANS UN ETAT DE DROIT.